Στη Γαλλία, τώρα όπου ο “μαϊμου Ναπολέων” Μακρόν επιμένει ότι “δεν του ξέφυγε αλλά σκόπιμα και μετρημένα” είπε ότι το ΝΑΤΟ πρέπει να στείλει στρατό στην Ουκρανία, φαίνεται ότι … δεν ρώτησε τους Γάλλους!
‼️Le Figaro: Το 68% των Γάλλων δεν εγκρίνει τη θέση του Μακρόν για τη δυνατότητα αποστολής στρατευμάτων στην Ουκρανία.
Όπως φαίνεται από έρευνα της Odoxa-Backbone Consulting που έγινε για την εφημερίδα.
Το 31% υποστήριξε τον Μακρόν.
Επιπλέον, η πλειοψηφία των Γάλλων (51%) πιστεύει ότι είναι απαραίτητο να παραμείνουν ουδέτεροι απέναντι στη Ρωσία.
Το 37% των ερωτηθέντων Γάλλων θεωρεί τη Μόσχα “εχθρική χώρα”, το 11% τη θεωρεί σύμμαχο ενώ το 51% πιστεύει ότι “πρέπει να υπάρξει συνεννόηση και συμφωνία με τη Μόσχα”
Το 77% των Γάλλων, δηλώνει “ανήσυχο” για τις εξελίξεις στην Ουκρανία!
Guerre en Ukraine : 68% des Français désapprouvent la prise de position d’Emmanuel Macron, selon un sondage
Ce sont les sympathisants du Rassemblement national qui réprouvent le plus massivement (83%) les propos du président suivis par les Insoumis (67%), les LR (66%), les écologistes (63%) et enfin les socialistes (59%). Seules les troupes macronistes soutiennent à 69% la position du chef de l’État. Plus de deux ans après l’invasion de l’est de l’Ukraine par la Russie, le conflit inquiète encore plus des trois quarts des Français (77%). Un niveau presque aussi élevé qu’en 2022 (86%).
Face à la guerre, une courte majorité des Français (51%) souhaite qu’Emmanuel Macron entretienne une forme de statu quo et considère la Russie comme «un mal nécessaire avec lequel il faut composer». 37% appellent en revanche le chef de l’État à considérer Moscou comme «un adversaire à combattre» et seulement 11% comme un allié. Là encore, les sympathisants RN (18%) et LFI (16%) sont les plus nombreux à souhaiter un rapprochement avec le Kremlin.
Il faut dire qu’à moins de quatre mois des élections européennes, les différents camps s’écharpent sur le dossier ukrainien. À l’image de l’intervention de Gabriel Attal, lundi à l’Assemblée nationale, le premier ministre assimilant les «troupes» de Marine Le Pen à celles de Vladimir Poutine. Une attaque qui a provoqué l’ire de la double-finaliste de la présidentielle, qui a dénoncé «l’injure» et «l’insulte» du chef du gouvernement. Un avis partagé par une petite majorité de Français (55%), qui désapprouvent également les propos de Gabriel Attal.